Lorsque l’on souhaite manger sainement mais que l’on ne veut pas renoncer au plaisir des aliments croustillants, l’airfryer - la friteuse à air chaud - apparaît comme une bonne alternative pour préparer des frites avec un minimum de matières grasses. À LaNutrition, nous avons voulu savoir si les airfryers sont réellement plus sains qu’une friteuse. On vous explique tout.
L’agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Afsset) a publié le 6 avril une mise à jour des connaissances sur les effets sanitaires des champs électromagnétiques d’extrêmement basses fréquences, tels que ceux émis par les lignes électriques. Par mesure de précaution, elle recommande de ne pas installer d’établissements accueillant des enfants (écoles, crèches…) près des lignes à très haute tension et de ne pas implanter de nouvelles lignes au-dessus de ces établissements.
En 2002, les champs électromagnétiques générés par les lignes à haute et à très haute tension avaient été classés comme « cancérigènes possibles chez l’Homme ». Par ailleurs, différents études ont montré un lien entre l’exposition aux champs électromagnétiques générés par les lignes à très haute tension et des leucémies infantiles. Néanmoins, aucune étude n’a démontré un mécanisme d’action expliquant la survenue de ces maladies.
Pour l’Afsset, la priorité est de résoudre « ce paradoxe scientifique ». Pour cela, il faut « poursuivre les études épidémiologiques en s’appuyant sur une description robuste de l’exposition aux champs électromagnétiques d’extrêmement basses fréquences, notamment par le recours aux nouvelles techniques de mesure des expositions individuelles. » L’agence recommande également de « renforcer la recherche sur les causes possibles des leucémies infantiles. »
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Expertise de l'Afsset sur les effets sanitaires des champs électromagnétiques d'extrêmement basses fréquences - Communiqué de l'Afsset - le 6 avril 2010