Une étude menée sur des souris indique que le jeûne intermittent permet de préserver la mémoire à long terme et de générer de nouveaux neurones.

Une étude menée sur des souris indique que le jeûne intermittent permet de préserver la mémoire à long terme et de générer de nouveaux neurones.
Une étude confirme qu'un temps excessif passé devant les écrans est à l’origine d’un retard de développement chez les enfants. LaNutrition vous donne les recommandations à suivre pour éviter cela.
Une consommation régulière de thé vert diminue le risque d’accident vasculaire cérébral, notamment grâce aux flavonoïdes qu'il contient.
Une étude rapporte que les somnifères prescrits sur une longue période n’améliorent pas la qualité du sommeil chez les femmes après deux ans de traitement.
Les données actuelles ne permettent pas de préconiser l’utilisation de compléments alimentaires ou d’extraits de plantes pour perdre du poids même si certains peuvent avoir un effet bénéfique. Il existe des substances prometteuses mais il faudra encore mener de larges essais cliniques.
Une étude expérimentale suggère qu’il existe un lien direct entre le sucre ajouté à certaines boissons et la croissance de tumeurs cancéreuses et les données épidémiologiques confirment l'association entre boissons sucrées et risque accru de cancer colorectal.
Les personnes les plus exposées à la pollution notamment celle due à la circulation automobile sont plus susceptibles de souffrir de troubles mentaux.
Dans un essai contrôlé randomisé récent, une supplémentation en safran pendant 6 semaines a permis d’améliorer la durée et la qualité du sommeil chez des personnes ayant des difficultés à dormir.
La méditation de pleine conscience modifie l’activité cérébrale au repos expliquant ainsi son efficacité dans la réduction de l’anxiété et des symptômes dépressifs chez les préadolescents, selon une étude récente.
Pratiquer une activité physique régulière permet aux personnes atteintes d’une maladie rhumatismale auto-immune (lupus, polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite…) de réduire leur risque cardiovasculaire généralement accru par la maladie.
L'adolescence est une période de la vie où le stress peut être intense et pas bien pris en compte par les parents. Voici des solutions pratiques pour apaiser vos ados mais aussi les plus jeunes.
La stéatose hépatique non alcoolique, même au stade précoce, semble augmenter considérablement le risque de cancer du foie, d'après une étude récente. D’où l’importance d’inverser la maladie par des modifications du mode de vie.
Un travail stressant, des soucis dans la vie privée ou dans les relations avec les autres sont des sources de stress psychosocial importantes pour les femmes. Ce qui aurait un impact négatif sur leur risque de maladie coronarienne, d'après une étude récente.
Masques faciaux, rouges à lèvres, vernis à ongles, teintures capillaires… ces produits de beauté pourraient augmenter le risque de développer une endométriose, en raison des perturbateurs endocriniens qu’ils contiennent.
Les personnes qui souffrent de parodontite, une infection sévère des gencives, auraient un risque accru de présenter une pression artérielle élevée, d'après une étude récente. D'où l'importance de ne pas négliger sa santé bucco-dentaire!
Manger une seule portion de légumes verts à feuilles par jour pourrait stimuler la fonction musculaire grâce aux nitrates présents dans ces aliments et ce, indépendamment de l’activité physique.
L’activité physique lutte contre l’inflammation, et plus on en fait, plus elle baisse.
Une étude montre qu’une quantité de caféine - équivalente à celle présente dans un café fort - ingérée une demi-heure avant l’exercice aérobie augmente considérablement le taux de combustion des graisses.
Les personnes qui suivent un régime végétarien ou végan doivent trouver des alternatives à la viande pour combler leurs besoins en protéines. Parmi, les aliments d’origine végétale, le seitan, fabriqué à partir de gluten de blé, est de plus en plus populaire pour se substituer à la viande.
Un programme de méditation de pleine conscience de 8 semaines a permis d’améliorer la qualité de vie et de réduire la crainte de reprendre une activité chez des personnes ayant eu un infarctus.