Dans un petit essai clinique, de fortes doses de vitamine C en intraveineuse ont limité les effets secondaires d’une chimiothérapie.
La supplémentation en vitamine C permettrait de lutter contre l'hypertension artérielle.
De combien de vitamine C avons-nous réellement besoin ?
Dans un petit essai clinique, de fortes doses de vitamine C en intraveineuse ont limité les effets secondaires d’une chimiothérapie.
Des niveaux de vitamine C bas ont été relevés dans le sang de patients ayant eu une hémorragie cérébrale.
De fortes doses de vitamines C et E limiteraient les bénéfices de l'entraînement.
Des apports élevés en bêta-carotène, vitamine C et magnésium sont associés à une meilleure audition.
La biodisponibilité de la vitamine C semble la même dans l'organisme, qu’elle provienne d’un comprimé ou d’un kiwi.
La vitamine C prise avant un effort physique limite la bronchoconstriction induite par l’exercice.
Un manque de vitamine C pendant la grossesse serait néfaste pour le cerveau de l'enfant.Le retard mental acquis serait irréversible.
Un groupe de chercheurs appelle à une augmentation des apports nutritionnels recommandés en vitamines C.Ils estiment que cette augmentation permettrait de diminuer la prévalence d'un grand nombre de maladies.
La supplémentation en vitamine C permettrait de lutter contre l'hypertension artérielle.
Deux prises de vitamine C par jour amélioreraient le traitement du diabète de type 2.