Pascal Goncalves, médecin généraliste et conférencier en prévention santé, a créé une méthode pour guider les consommateurs dans leurs choix nutritionnels.
Bien manger
Selon la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes), 42% des confiseries présenteraient des non-conformités liées à leur composition ou à leur étiquetage.
Sucettes, fraises, bonbons acidulés… Toutes ces confiseries ravissent les enfants mais contiennent trop de colorants artificiels. De récents contrôles effectués par la DGCCRF font en effet état de 42 % de non-conformité pour les produits de confiseries.
Des anomalies concernant l’étiquetage seraient responsables des deux tiers des non-conformités. Il s’agirait de bonbons comportant des colorants artificiels non mentionnés sur l’étiquette ou au contraire présents sur l’emballage mais pas dans le produit.
Enfin, plus rarement, la DGCCRF aurait observé dans les confiseries la présence de certains colorants artificiels dans des proportions légèrement supérieures à celles autorisées.
Ainsi, selon la direction, « Le taux de non-conformité de 42 % montre que les fabricants de produits de confiserie, français ou étrangers, ne maitrisent pas parfaitement l'emploi des colorants artificiels ».
Rappelons que chaque français consomme en moyenne près de 4 kilos de bonbons par an pour un marché d’une valeur de plus d’un milliard d’euros.
Pour en savoir plus sur les colorants artificiels, lisez notre dossier 14 colorants alimentaires à éviter.
