Deux études suggèrent qu'il est possible, par des changements de mode de vie, d'inverser le déclin cognitif léger et la maladie d'Alzheimer à un stade précoce.

11 toxiques répandus dans l'environnement sont dangereux pour le développement du cerveau.
Au cours des dernières années, la fréquence de troubles du comportement comme l’autisme et l’hyperactivité s’est accrue. D’après un article de Lancet Neurology, des changements dans l’environnement dans lequel grandissent les enfants pourraient jouer un rôle.
Les désordres du développement neurologique et comportemental toucheraient 10 à 15 % des naissances. Des troubles comme l’autisme ou l’hyperactivité ont des conséquences sur la qualité de vie, la réussite scolaire et le comportement. Or les facteurs génétiques n’expliqueraient pas plus de 30 à 40 % de ces troubles neurologiques. C’est pourquoi l’environnement doit jouer un rôle.
Des chercheurs américains ont passé en revue les articles portant sur les substances neurotoxiques pour les enfants. En 2006, ils en avaient identifié 5 : le plomb, le méthylmercure, les PCB, l’arsenic et le toluène. L’exposition à ces neurotoxines était associée à des changements dans le développement neuronal du fœtus, des performances scolaires plus faibles et un QI réduit chez des enfants d’âge scolaire. 7 ans plus tard, ils ont trouvé 6 autres produits chimiques qui perturberaient le développement normal du cerveau :
Le cerveau en développement est particulièrement vulnérable à ces produits chimiques et le placenta ne bloque pas le passage de nombreux produits toxiques. De plus, ces composés neurotoxiques conduisent à des dommages souvent incurables et irréversibles.
Les phtalates et le bisphénol A que l’on retrouve dans différents types de plastiques ont des effets sur la signalisation hormonale. Des expositions prénatales aux phtalates sont liées à des déficits du développement neuronal, des anomalies du comportement, une attention réduite.
Pour les chercheurs, le nombre de substances neurotoxiques présentes dans l’environnement est sous-estimé.
Source
Philippe Grandjean, Philip J Landrigan. Neurobehavioural effects of developmental toxicity. Lancet Neurology. Mars 2014. Volume 13: 330-338.
Deux études suggèrent qu'il est possible, par des changements de mode de vie, d'inverser le déclin cognitif léger et la maladie d'Alzheimer à un stade précoce.
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