Masques faciaux, rouges à lèvres, vernis à ongles, teintures capillaires… ces produits de beauté pourraient augmenter le risque de développer une endométriose, en raison des perturbateurs endocriniens qu’ils contiennent.

Masques faciaux, rouges à lèvres, vernis à ongles, teintures capillaires… ces produits de beauté pourraient augmenter le risque de développer une endométriose, en raison des perturbateurs endocriniens qu’ils contiennent.
Une étude internationale montre que le premier confinement de 2020 a eu moins d’impact que prévu sur la qualité de l’air.
En automne, les journées raccourcissent, le froid s’installe et, pour donner une ambiance chaleureuse à notre intérieur, nous allumons souvent des bougies. 48 % des Français en utilisent ainsi régulièrement chez eux. Mais est-ce sans danger ? Nous faisons le point pour vous.
L’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) a réalisé une vaste étude sur des milliers de produits commercialisés pour le tabac et le vapotage.
Réduire ses déchets, c'est aussi cuisiner soi-même avec des aliments simples et frais. Le "Zéro Déchet" permet ainsi de mieux manger. Détails et conseils.
Les cerveaux de jeunes exposés à une forte pollution urbaine montrent des signes caractéristiques de maladies neurodégénératives, d'après une étude récente.
La pandémie de COVID-19 nous incite à consommer plus de plastiques à usage unique. Quelles conséquences sur l'environnement ?
Des taux élevés de phtalates ont été trouvés dans le liquide céphalorachidien de patients souffrant d’une pathologie neurodégénérative : la maladie à corps de Lewy.
Selon une nouvelle étude américaine, une consommation régulière de poisson gras chez les femmes âgées fortement exposées à la pollution atmosphérique permettrait de protéger leur cerveau.
La farine de pois chiche peut-elle remplacer la farine de blé dans les pâtes alimentaires pour réduire leur coût écologique et augmenter leur intérêt nutritionnel ? Une étude irlandaise récente indique que oui.
Si la pollution de l’environnement par le plastique est maintenant bien étudiée, celle de l'humain via les aliments est moins connue. Trois études récentes montrent que nous ingérons tous des particules de plastique via l'alimentation qui se retrouvent dans le sang.
Dans un rapport paru le 7 juin, le réseau ONG Pesticide Action Network (PAN Europe) pointe du doigt l'évaluation positive de l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) à propos de 12 pesticides toxiques, largement utilisés aujourd'hui.
Un rapport réalisé à l’initiative de 9 ONG alerte sur la présence de PFAS (des polluants chimiques persistants et toxiques) dans les emballages alimentaires et la vaisselle à usage unique, notamment ceux utilisés en restauration rapide.