Sommeil

De nombreuses personnes ont des troubles du sommeil.Nos graisses viscérales perturberaient notre qualité de sommeil.

Chez les personnes qui souffrent de troubles respiratoires du sommeil, la déficience cognitive légère est diagnostiquée plus précocement que chez les personnes qui n’ont pas de troubles respiratoires pendant leur sommeil

La moitié de l'effet des somnifères serait lié à l'effet placebo.Des chercheurs remettent en cause l'intérêt de ces médicaments.

Des nuits trop courtes ouvriraient (un peu trop) l'appétit

Psychiatre spécialisée dans les troubles du sommeil, le Dr Sylvie Royant-Parola est présidente du réseau Morphée, un réseau de santé consacré à la prise en charge des troubles chroniques du sommeil. Le Dr Royant-Parola anime des groupes de thérapies cognitives et comportementales destinés à aider les insomniaques. Un travail qui porte ses fruits : 2 patients sur 3 retrouvent le sommeil !  

Les enfants qui dorment plus longtemps ont moins faim et perdent du poids.

Une idée reçue très répandue, mais qui ne tient pas la route...

Les jeunes femmes qui se couchent et se lèvent aux mêmes heures et dorment suffisamment, ont moins de graisses corporelles.

Les acides aminés des protéines aideraient à rester éveillé

Chez les travailleurs de nuit, cette horloge est perturbée et pourrait conduire au surpoids.