Une méta-analyse montre que les compléments de vitamine D réduisent la sévérité de la maladie. Mais les effets préventifs de la supplémentation sur l'infection par le SARS-CoV-2 sont controversés.

Les autorités sanitaires de la plupart des pays développés considèrent qu’un adulte en bonne santé n’a besoin chaque jour que de quelques dizaines de milligrammes de vitamine C. Dans son livre "Le régime préhistorique", Thierry Souccar a montré que les besoins officiels sont largement sous-évalués. Nous publions ici les points-clés de cette démonstration.
La majorité des vertébrés (amphibiens, reptiles, oiseaux et mammifères) est capable de synthétiser la vitamine C à partir du glucose. La plupart des 4000 espèces de mammifères fabriquent donc la vitamine C dont elles ont...
Retrouvez la suite de votre article en vous connectant à votre espace personnel.
Je m'identifieAccédez à des articles et conseils exclusifs en vous abonnant pour seulement 39 € / an.
Je m'abonneUne méta-analyse montre que les compléments de vitamine D réduisent la sévérité de la maladie. Mais les effets préventifs de la supplémentation sur l'infection par le SARS-CoV-2 sont controversés.
Les personnes qui manquent de vitamine K ont plus de risque de souffrir de BPCO (bronchopneumopathie chronique obstructive), d’asthme et d’avoir une respiration sifflante.
Si l'alimentation n'est pas la source principale de vitamine D, elle permet des apports additionnels intéressants, notamment via les poissons gras par ailleurs riches en oméga-3.