Adopter un régime kéto, une nouvelle piste de traitement du syndrome des ovaires polykystiques ? Des chercheurs l'ont testée.

Adopter un régime kéto, une nouvelle piste de traitement du syndrome des ovaires polykystiques ? Des chercheurs l'ont testée.
Le SOPK, ou syndrome des ovaires polykystiques, est un trouble endocrinien et métabolique qui affecte environ 10 % des femmes en âge de procréer. Quel régime adopter pour en réduire ses effets ? Les conseils d'Angélique Houlbert, diététicienne-nutritionniste, et auteure du livre Le régime SOPK.
Une étude britannique montre que l'utilisation de contraceptifs progestatifs est associée à une augmentation du risque de cancer du sein de 20 à 30 %.
L'utilisation de la pilule contraceptive augmenterait le stress oxydatif néfaste pour la santé. Des antioxydants permettraient de diminuer cet effet secondaire.
L'existence anatomique du point G a été mise en évidence par un chercheur Américain.
Un sondage Ifop révèle un lien entre le libéralisme sexuel et les opinions politiques.Les électeurs qui votent à droite auraient une vie sexuelle moins intense.
Certains sports mobilisent des muscles profonds de l'abdomen.Les contractions de ces muscles peuvent provoquer un orgasme, en l'absence de rapport sexuel.
Les sites de rencontres peuvent renfermer l'amour mais aussi les menteurs.
La DHEA à faible dose serait aussi efficace que le traitement hormonal substitutif pour diminuer les symptômes de la ménopause.
La consommation d'alcool augmente les comportements à risque
Le SOPK, ou syndrome des ovaires polykystiques, est un trouble endocrinien et métabolique qui affecte environ 10 % des femmes en âge de procréer. Quel régime adopter pour en réduire ses effets ? Les conseils d'Angélique Houlbert, diététicienne-nutritionniste, et auteure du livre Le régime SOPK.
Une étude britannique montre que l'utilisation de contraceptifs progestatifs est associée à une augmentation du risque de cancer du sein de 20 à 30 %.
Seules 5 substances semblent avoir un effet sur la sexualité féminine.La plupart des études portent sur l’amélioration de la libido.Par ailleurs, les études sur la sexualité des femmes restent nettement moins nombreuses que pour leurs homologues masculins. Probablement parce que s’il est aisé de mesurer l’excitation d’un homme à la qualité de son érection il est moins évident d’objectiver des paramètres pour mesure l’excitation féminine.