Selon une nouvelle hypothèse et une nouvelle étude, la « faim pour les protéines » entraîne une surconsommation d’aliments ultra-transformés et la prise insidieuse de poids.
L’étude
Marie Lagouge et Carmen Argmann, chercheuses à l’Institut de Génétique et de Biologie Moléculaire et Cellulaire (IGBMC), ont étudié les effets du resvératrol sur le métabolisme des souris. Deux groupes de rongeurs ont été constitués, tous deux nourris avec un menu très riche en lipides. L’un des...
Cet article est réservé aux abonnés
Retrouvez la suite de votre article en vous connectant à votre espace personnel.
Je m'identifieAccédez à des articles et conseils exclusifs en vous abonnant pour seulement 39 € / an.
Je m'abonne