Selon une nouvelle hypothèse et une nouvelle étude, la « faim pour les protéines » entraîne une surconsommation d’aliments ultra-transformés et la prise insidieuse de poids.
La régulation de l’appétit, le stockage des graisses, la taille, la couleur des yeux : les gènes sont partout. Dès lors il n’est pas étonnant qu’ils se retrouvent impliqués dans certaines formes d’obésité familiale.
FTO, un gène aux nombreuses mutations
Le gène FTO (pour fatso, « gros lard » en...
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