L’âge d’une femme à la naissance de son dernier enfant pourrait influencer la longueur des télomères dans les leucocytes et donc la santé à long terme et la longévité.

Pour la première fois, une étude met en évidence un lien entre fréquence cardiaque fœtale pendant le premier trimestre de grossesse et le risque de diabète gestationnel par la suite.
Le diabète gestationnel se présente chez des femmes non diabétiques au moment de la grossesse. Cette élévation du sucre dans le sang est à l’origine de complications pour la mère comme pour l’enfant. Il est généralement découvert à la suite d’un test après déjà quelques mois de grossesse.
Identifier de manière plus précoce le risque de diabète gestationnel, lors de l’échographie du premier trimestre, permettrait de conseiller à ces femmes des changements de l’alimentation et de l’hygiène de vie en général, afin de réduire à terme le nombre de patientes avec un traitement à l’insuline et les complications.
Des chercheurs italiens ont suivi 603 femmes enceintes d’un seul enfant, dont 199 ont révélé un diabète gestationnel entre le sixième et le septième mois de grossesse.
Plusieurs paramètres ont été pris en compte notamment l’âge, l’IMC, le tabagisme et surtout la fréquence cardiaque fœtale. Les femmes présentant un diabète gestionnel étaient dans l’ensemble plus jeunes, avec un IMC plus élevé et surtout une fréquence cardiaque du fœtus plus élevée entre le deuxième et le troisième mois de grossesse. Pour les scientifiques, « c’est la première étude qui met en lumière le potentiel de la fréquence cardiaque fœtale comme test prédictif d’un diabète gestationnel ».
L’alimentation de prévention pour les femmes présentant un risque de diabète gestionnel et pour les femmes le déclarant ne consiste pas à réduire les calories mais à améliorer la qualité de l’alimentation :
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