Cinq des six tests de dépistage du cancer couramment pratiqués, dont la mammographie, ne semblent pas diminuer la mortalité toutes causes.

Cinq des six tests de dépistage du cancer couramment pratiqués, dont la mammographie, ne semblent pas diminuer la mortalité toutes causes.
Une alimentation riche en caroténoïdes et sélénium, pauvre en glucides raffinés réduirait le risque de cancer de la prostate.
Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l'homme en France. Quels sont ses facteurs de risque et peut-on les prévenir ?
Pour le Dr David Khayat, les oméga-3 augmentent le risque de cancer de la prostate. LaNutrition a enquêté pour savoir si ces graisses sont si dangereuses.
Les hommes obèses ont plus de risques de décéder des suites d’un cancer de la prostate. Le lien entre ces deux pathologies tiendrait aux phénomènes hormonaux et inflammatoires dus à l’excès de poids.
Une nouvelle étude menée à Montréal auprès de 4000 hommes entre 2005 et 2012 confirme que certaines habitudes alimentaires sont associées à un risque plus important de cancer de la prostate.
Popularisée par un cancérologue français, l’hypothèse selon laquelle les oméga-3 augmentent le risque de cancer de la prostate apparaît de moins en moins fondée.
La vitamine D pourrait jouer un rôle dans la prévention des cancers, mais les preuves formelles manquent. Cependant, la vitamine D diminue la mortalité par cancer.
Le dépistage du cancer de la prostate par dosage du PSA chez les personnes sans symptômes est très répandu. Pourtant il ne réduit pas la mortalité, entraîne surdiagnostic, traitements inutiles, et effets indésirables.
Pratiquer la marche rapide, plusieurs fois par semaine, pourrait freiner la progression du cancer de la prostate.
Une alimentation riche en caroténoïdes et sélénium, pauvre en glucides raffinés réduirait le risque de cancer de la prostate.
Pour le Dr David Khayat, les oméga-3 augmentent le risque de cancer de la prostate. LaNutrition a enquêté pour savoir si ces graisses sont si dangereuses.
Les hommes obèses ont plus de risques de décéder des suites d’un cancer de la prostate. Le lien entre ces deux pathologies tiendrait aux phénomènes hormonaux et inflammatoires dus à l’excès de poids.