Une méta-analyse montre que les compléments de vitamine D réduisent la sévérité de la maladie. Mais les effets préventifs de la supplémentation sur l'infection par le SARS-CoV-2 sont controversés.

L’alimentation ne parvient pas toujours à subvenir aux besoins individuels en vitaminesIls varient avec l’âge, le sexe, la corpulence, l’état de santé, le mode d’alimentation, la prise de médicaments, l’ensoleillement…
Les conditions de la synthèse de vitamine D par exposition solaire ne sont vraiment réunies en France métropolitaine qu’entre mars-avril et octobre. Les réserves de vitamine D constituées aux beaux jours sont elles quasiment toutes épuisées en...
Retrouvez la suite de votre article en vous connectant à votre espace personnel.
Je m'identifieAccédez à des articles et conseils exclusifs en vous abonnant pour seulement 39 € / an.
Je m'abonneLes meilleurs livres et compléments alimentaires sélectionnés pour vous par NUTRISTORE, la boutique de la nutrition.
Découvrir la boutiqueUne méta-analyse montre que les compléments de vitamine D réduisent la sévérité de la maladie. Mais les effets préventifs de la supplémentation sur l'infection par le SARS-CoV-2 sont controversés.
Les personnes qui manquent de vitamine K ont plus de risque de souffrir de BPCO (bronchopneumopathie chronique obstructive), d’asthme et d’avoir une respiration sifflante.
Si l'alimentation n'est pas la source principale de vitamine D, elle permet des apports additionnels intéressants, notamment via les poissons gras par ailleurs riches en oméga-3.