Une étude, reprise largement par les médias, laisse entendre qu'en suivant un jeûne intermittent on augmente considérablement son risque de mourir. LaNutrition vous explique pourquoi c'est peu plausible.
Le jeûne intermittent pourrait améliorer le SOPK en agissant sur l'insuline, mais les preuves cliniques manquent encore.
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est un trouble hormonal répandu chez les femmes en âge d’avoir un enfant ; il est associé à des troubles métaboliques comme la résistance à l’insuline, l’excès d’insuline et d’hormones mâles, l’obésité et se traduit souvent par des difficultés pour enfanter.
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