Faut-il jeûner quand on souffre du syndrome des ovaires polykystiques ?

Par Thierry Souccar - Journaliste et auteur scientifique, directeur de laNutrition.fr Publié le 25/01/2018 Mis à jour le 25/01/2018 Edition Abonné
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Le jeûne intermittent pourrait améliorer le SOPK en agissant sur l'insuline, mais les preuves cliniques manquent encore.

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est un trouble hormonal répandu chez les femmes en âge d’avoir un enfant ; il est associé à des troubles métaboliques comme la résistance à l’insuline, l’excès d’insuline et d’hormones mâles, l’obésité et se traduit souvent par des difficultés pour enfanter.

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