À Okinawa ou en Sardaigne, certains facteurs semblent améliorer l'espérance de vie : alimentation pauvre en viande, activité physique et interactions sociales.

Un rapport sodium/ potassium élevé serait lié à une augmentation du risque de décès, notamment d’origine cardiovasculaire.
Des plats tout prêts bien trop salés, peu de fruits et de légumes… Déjà associée à un risque accru de maladies cardiovasculaires, une alimentation de ce type, riche en sodium et pauvre en potassium, pourrait également augmenter le risque de décès. C’est ce que suggère une étude publiée dans le journal Archives of Internal Medicine.
Les auteurs ont suivi 12267 personnes durant près de 15 ans afin d’évaluer la relation entre la mortalité et la consommation de sodium et potassium.
Les résultats montrent qu’une consommation importante de sodium est liée à une augmentation de 20 % de la mortalité et qu’à l’inverse, une consommation importante de potassium est liée à une réduction de 20 % de la mortalité. Par ailleurs, une consommation importante de sodium associée à une consommation faible de potassium est liée à une augmentation considérable de la mortalité et notamment de la mortalité cardiovasculaire.
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