Cancer du sein

Le soja, notamment grâce aux isoflavones qu’il contient, peut aider les femmes à réduire leur risque de fractures après un traitement contre le cancer du sein.

Est-ce que notre alimentation peut avoir une influence sur le risque de cancer du sein ?

Grâce à leur richesse en lignanes, les graines de lin pourraient protéger les femmes du cancer du sein en augmentant les taux sériques d’entérolactone.

Des scientifiques conseillent d’éviter la supplémentation en antioxydants pendant un cancer du sein chez les femmes ménopausées. 

Minceur, diabète, cancer du sein, maladies cardiovasculaires... les fibres sont vos alliées, à condition d'en manger chaque jour.

La vitamine D pourrait jouer un rôle dans la prévention des cancers, mais les preuves formelles manquent. Cependant, la vitamine D diminue la mortalité par cancer.

Indispensable selon les autorités sanitaires, le dépistage par mammographie a aussi de nombreux inconvénients.

L’alimentation méditerranéenne agirait bénéfiquement sur le microbiote des glandes mammaires en favorisant l’abondance de bactéries qui inhibent la croissance tumorale.

De nombreuses femmes atteintes d’un cancer du sein ont recours aux plantes pour lutter contre la fatigue et les effets indésirables des chimiothérapies et radiothérapies. Lesquelles peut-on essayer et sont-elles efficaces ?

On a longtemps cru, et affirmé, que le dépistage systématique du cancer du sein allait réduire la mortalité et le nombre de tumeurs graves. Mais ce n'est pas le cas. Explications avec le Dr Cécile Bour, du collectif Cancer Rose.