Les personnes qui avalent le plus de polyphénols vivraient plus longtemps.
Boisson parmi les plus consommées au monde, le café contient des molécules antioxydantes et des composés qui pourraient aider à lutter contre l'inflammation. Explications.
Chaque Français n’en consomme que 5 kg par an, loin derrière les champions du monde scandinaves (plus de 13 kg par personne et par an), mais devant les Japonais qui ne jurent que par le thé. Comme Janus, le café est capable du meilleur comme du pire, et ce n’est pas forcément une question de dose.
Les personnes qui avalent le plus de polyphénols vivraient plus longtemps.
La caféine présente dans le cola ou les boissons énergisantes limite expérimentalement le sommeil profond et gênerait le développement du cerveau.
L'obésité est un facteur de risque pour le cancer de l’endomètre, la charge glycémique l'est probablement, alors que l’activité physique et le café limiteraient ce risque.
Le cancer de la prostate progresse moins chez les hommes qui buvaient plus de 4 tasses de café par jour avant leur diagnostic.
Boire plus de 28 tasses de café par semaine augmenterait le risque de mortalité avant 55 ans.
Les polyphénols influencent notre santé grâce à leur action sur la flore intestinale : ils favorisent la croissance de bactéries bénéfiques et inhibent des bactéries pathogènes.
Il n’y aurait pas de lien entre la consommation de café et les ulcères de l’estomac, du duodénum, ou encore le reflux gastro-œsophagien (RGO).
Boire du café contribuerait au développement des symptômes du bas appareil urinaire, alors que les jus d'agrumes les freineraient.
La caféine pourrait améliorer certains symptômes de la maladie de Parkinson.