Une nouvelle étude américaine montre que la caféine stimule le cerveau lors de la résolution de problèmes, mais qu’elle ne favorise pas la créativité.

Chaque Français n’en consomme que 5 kg par an, loin derrière les champions du monde scandinaves (plus de 13 kg par personne et par an), mais devant les Japonais qui ne jurent que par le thé. Comme Janus, le café est capable du meilleur comme du pire, et ce n’est pas forcément une question de dose.
Une nouvelle étude américaine montre que la caféine stimule le cerveau lors de la résolution de problèmes, mais qu’elle ne favorise pas la créativité.
Plutôt passionnante, l’histoire du café est une succession d’autorisations et d’interdictions politiques et religieuses. Tout a commencé pour cette boisson que l’on adore ou que l’on déteste au sommet des plus hauts plateaux de l’Afrique tropicale.
Le café aurait des effets anti-inflammatoires et ne serait pas responsable des incidents cardiovasculaires dont on l’accuse si souvent. En revanche, il aurait bien un impact négatif sur le sommeil.
Parfois accusé de provoquer palpitations et problèmes digestifs, le café est pourtant plutôt bon pour la santé. Zoom sur quelques idées reçues sur une des boissons préférée des français.
Une vaste étude a trouvé que les gros consommateurs de café souffrent moins de diabète, maladies cardiovasculaires, et de certains cancers, ce qui réduit leur risque de mortalité. Une autre confirme.
La consommation importante de caféine des futures mamans est associée à un poids plus important chez l'enfant.
Après un infarctus, les personnes qui boivent du café ont un risque de mortalité par maladie cardiovasculaire et maladie coronarienne diminué de 20 à 30%.
Une enquête révèle les quantités considérables de sucre contenues dans les boissons servies chez Starbucks et d'autres
D’après une étude publiée dans le journal Archives of Internal Medicine, le café pourrait avoir un effet protecteur contre la dépression, à condition de ne pas le consommer décaféiné !
L’acide chlorogénique présent dans le café réduirait le risque de syndrome métabolique.
Chaque Français n’en consomme que 5 kg par an, loin derrière les champions du monde scandinaves (plus de 13 kg par personne et par an), mais devant les Japonais qui ne jurent que par le thé. Comme Janus, le café est capable du meilleur comme du pire, et ce n’est pas forcément une question de dose.