Pratiquer la marche rapide, plusieurs fois par semaine, pourrait freiner la progression du cancer de la prostate.
Les types de cancers
Alimentation, pollution, environnement... Notre mode de vie est capital dans la prévention des cancers. Comment faire les meilleurs choix pour réduire le risque de maladie ?
Le nouveau rapport du Fond Mondial de Recherche contre le Cancer confirme les méfaits d’une alimentation riche en viande rouge et en viandes transformées sur la santé colorectale.
La consommation de 6 tasses de café par jour serait associée à un moindre risque de cancer de la prostate.
L’exercice physique, même à faible dose, participerait à la prévention du cancer du colon.
Les personnes qui travaillent en position assise auraient plus de risques que les autres de développer un cancer colorectal.
Le Docteur Joseph Monsonégo est gynécologue et chef du département de cyto-colposcopie de l’institut Alfred Fournier (Paris). LaNutrition l’a interrogé sur les perspectives de prévention du cancer du col de l’utérus.
Gardasil, le vaccin qui protège du cancer du col de l’utérus, va être remboursé à hauteur de 65% par la sécurité sociale. Les filles à partir de 14 ans et jusqu’à 23 ans seront vaccinées.
Le traitement hormonal de la ménopause (THS ou THM) peut augmenter le risque de cancer du sein, mais ce risque n’est pas le même selon les marques.Françoise Clavel-Chapelon (Inserm, Institut Gustave Roussy,Villejuif) dirige l’étude E3N qui suit depuis 1990 près de 100 000 femmes volontaires affiliées à la MGEN. Pour LaNutrition, elle commente les derniers résultats de cette étude. Un entretien exclusif.
Plus on mange de yaourt, plus on risque d’être victime d’un cancer de la prostate. C’est la conclusion d’une étude française publiée en mars 2006. Question : faut-il encore consommer des yaourts, et combien ?
Le traitement hormonal substitutif (THS) favorise-t-il le cancer du sein ?La question a longtemps été au cœur des débats dans le milieu médical et scientifique sans jamais être clairement tranchée.La raison : la plupart des études, anglosaxones, ont testé des hormones très peu utilisées en France. Il devenait urgent de mener une étude dans l’Hexagone. Tout le monde le souhaitait, Françoise Clavel l’a fait.