Un programme de 8 semaines de méditation de pleine conscience a permis de soulager les douleurs neuropathiques liées au traitement contre le cancer du sein, dans un essai clinique récent.

Le nombre de cancers augmente et, malgré ce qu’on entend sur les progrès de la médecine, la mortalité n’a quasiment pas baissé depuis 1960, surtout pour les tumeurs du pancréas, des poumons, du foie, du cerveau…
Et si, au lieu de chercher uniquement à détruire les cellules cancéreuses avec des traitements agressifs, on les rendait aussi à nouveau fonctionnelles ? Cette approche peut améliorer l’efficacité des chimiothérapies et la survie des malades.
C’est la conviction du Dr Laurent Schwartz, partagée par de nombreux scientifiques dans le monde. Ce brillant médecin et chercheur en cancérologie a passé sa carrière à rassembler les preuves que les mécanismes qui amènent les cellules à se multiplier de manière anarchique sont essentiellement liés à un problème de combustion du sucre.
Dans cet ouvrage écrit pour les patients et les soignants, il propose de normaliser le métabolisme des cellules cancéreuses par une association de médicaments et compléments alimentaires non toxiques et peu onéreux, voire un régime pauvre en glucides.
Ce traitement métabolique a déjà bénéficié à de nombreux patients.
Pour découvrir les fondements du traitement métabolique et ses premiers succès, téléchargez l'extrait de Cancer un traitement simple et non toxique
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Découvrir la boutiqueUn programme de 8 semaines de méditation de pleine conscience a permis de soulager les douleurs neuropathiques liées au traitement contre le cancer du sein, dans un essai clinique récent.
L’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) a réalisé une vaste étude sur des milliers de produits commercialisés pour le tabac et le vapotage.
La majorité des femmes traitées pour un cancer du sein se plaignent de troubles – plus ou moins transitoires – de la mémoire, de l’attention ou sentent que leur cerveau fonctionne moins bien ou moins vite. Est-il possible d’agir sur cet effet secondaire du traitement du cancer ? Voici ce que disent les études.