Dans cette vidéo, le cancérologue Laurent Schwartz explique pourquoi le cancer peut être considéré comme une maladie métabolique et quels pourraient être ses nouveaux traitements.

Faire du sport dès le diagnostic de cancer aide à mieux supporter les effets secondaires des traitements et à augmenter leurs effets.
On sait que la pratique sportive réduit le risque de développer tous types de cancer (1). Ce que l’on sait moins c’est qu’elle permet aussi de mieux vivre la maladie et d’augmenter ses chances de survie tout en diminuant le risque de récidive.
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L’exercice améliore beaucoup de paramètres biologiques et psychologiques chez les patients atteints de cancer. De ce fait, il améliore significativement la qualité de vie (1), notamment en :
Il vaut mieux combiner endurance et musculation pour avoir des effets optimaux sur la maladie, selon les études.
Pour autant, marcher, courir ou aller nager peuvent déjà suffire à faire du bien au corps. Des activités plus douces comme le yoga ont aussi de bons résultats (3).
Pour en savoir plus sur les bienfaits du sport en cas de cancer et sur comment pratiquer, lire : Le sport, un allié de poids contre le cancer (abonnés)
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Découvrir la boutiqueDans cette vidéo, le cancérologue Laurent Schwartz explique pourquoi le cancer peut être considéré comme une maladie métabolique et quels pourraient être ses nouveaux traitements.
Dans quels aliments le trouve-t-on ? Quels sont les risques ? Comment se protéger ?
Pour plusieurs chercheurs dont le Français Laurent Schwartz (Assistance Publique-Hôpitaux de Paris) et les Américains Thomas Seyfried (université de Yale) et Dominic d’Agostino (université de Floride du Sud), le cancer doit être considéré comme une maladie métabolique, à l’instar du diabète, et non comme une maladie du génome. Cette approche part des découvertes faites par l’Allemand Otto Warburg dans les années 1920 sur le métabolisme très particulier des cellules cancéreuses. Pour ces travaux, il se verra décerner le Prix Nobel en 1931.