Dans cette vidéo, le cancérologue Laurent Schwartz explique pourquoi le cancer peut être considéré comme une maladie métabolique et quels pourraient être ses nouveaux traitements.

Le dépistage du cancer réduit peut-être la mortalité par certains cancers, mais pas la mortalité totale, assure une cancérologue britannique qui demande que le public soit mieux informé des risques du dépistage.
L'affirmation selon laquelle le dépistage du cancer « sauve des vies », est basée sur le fait que l’on enregistre moins de décès dus au cancer ciblé par le dépistage. Mais dans un article publié dans le BMJ, des médecins britanniques affirment que ce qui compte, c’est la réduction de la mortalité...
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Je m'abonneDans cette vidéo, le cancérologue Laurent Schwartz explique pourquoi le cancer peut être considéré comme une maladie métabolique et quels pourraient être ses nouveaux traitements.
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Pour plusieurs chercheurs dont le Français Laurent Schwartz (Assistance Publique-Hôpitaux de Paris) et les Américains Thomas Seyfried (université de Yale) et Dominic d’Agostino (université de Floride du Sud), le cancer doit être considéré comme une maladie métabolique, à l’instar du diabète, et non comme une maladie du génome. Cette approche part des découvertes faites par l’Allemand Otto Warburg dans les années 1920 sur le métabolisme très particulier des cellules cancéreuses. Pour ces travaux, il se verra décerner le Prix Nobel en 1931.