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Le risque de contamination dans un espace confiné, et donc à bord d’un avion dépend de trois facteurs : le degré de contagion de la personne malade, la proximité directe avec cette personne et la ventilation de l’habitacle. Mais on n’a souvent pas le choix de sa place en avion et surtout on ne connaît pas les personnes alentours. En fait, le fait d’être contaminé ou pas est une question de hasard et de circonstances.
La ventilation est un facteur crucial pour éviter la propagation du virus. Elle permet de diluer la concentration de particules pathogènes d’un espace confiné comme l’habitacle d’un avion. De plus, la ventilation est souvent compartimentée en fonction des parties de l’avion, ce qui évite que les particules pathogènes ne se propagent dans l’habitacle entier. Il est conseillé d’améliorer encore la ventilation en ouvrant les bouches d’aération situées à votre place, cela peut créer assez de « turbulence » devant votre visage pour éviter que les particules pathogènes n’y atterrissent. On s’est rendu compte qu’une ventilation qui ne fonctionne pas augmente fortement le risque que la maladie s’étende. Enfin, on peut préconiser le port d’un masque pour limiter la contamination. Lire l’article Grippe : adoptez la panoplie anti-transmission ?
La plupart des maladies infectieuses virales respiratoires comme la grippe se transmet via des gouttelettes contenant les micro-organismes projetées lors des éternuements ou de la toux. Ces projections ne dépassent généralement pas les 30 cm et atterrissent souvent sur des objets alentours, le siège, le plateau… C’est la raison pour laquelle les autorités sanitaires recommandent de se laver les mains régulièrement avec du savon ou des gels à au moins 60% d’alcool, un des seuls moyens efficaces pour prévenir la maladie, comme le montrent de nombreuses études. Se laver les mains très régulièrement diminue le risque de contamination par les virus de 40%. Enfin, la simulation d’une pandémie de grippe A/H1N1 montre que si les populations à risques évitent de trop se rassembler, le risque d’épidémie pourrait être diminué des deux tiers.
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