Cancer

Le dossier scientifique de l’aspartame ne susciterait pas autant de réactions passionnées s’il ne s’était construit sur fond de pratiques douteuses, revirements inexplicables, pressions politiques et inévitables conflits d’intérêt. De quoi nourrir amplement les soupçons de ce que les Américains appellent les  «conspirationnistes», persuadés que les citoyens ont été manipulés.

Le Dr Morando Soffritti est le principal auteur des études de la Fondation Ramazzini de Bologne (Italie) qui, de 2005 à 2010, ont conclu que l’aspartame provoque des cancers chez les rats et les souris qui en ont consommé toute leur vie.

Carcinome, mélanome, qui sont vraiment ces cancers de la peau ?Comment savoir si vous faites partie des personnes ayant un risque plus important de développer une tumeur ?LaNutrition.fr vous explique ce qui sont le carcinome et le mélanome et comment les dépister pour mieux les soigner.

Mostafa Ould Elhkim, toxicologue, a participé aux travaux de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments sur l’aspartame. Nous lui avons demandé si les inquiétudes sur l’aspartame sont justifiées.

Daniel Sincholle, pharmacologue, estime qu’il faut aborder le cancer sous l’angle d’une maladie métabolique, comme le proposent les Dr Schwartz et Montagnier. Il livre les traitements qu’on pourrait adopter en plus des thérapies classiques.

Quels sont les aliments qui peuvent contribuer à nous protéger du cancer? Découvez comment optimiser votre régime quotidien dans une optique de prévention à long terme.

Peut-on éviter le cancer en adoptant une alimentation optimale ?LaNutrition.fr vous présente les aliments qui sont susceptibles d’augmenter le risque de cancer et dont il vaut mieux limiter la consommation. Suivez le guide.

Nathalie Druesne-Pecollo réalise une thèse au sein de l’équipe Nutriments et Cancer du laboratoire de Nutrition et Sécurité Alimentaire (INRA, Jouy-en-Josas). Ses recherches montrent qu’un composé de l’ail, le disulfure de diallyle, empêche le développement et la prolifération de cellules cancéreuses du côlon. Cependant, rien ne montre encore que ces résultats peuvent être reproduits chez l’homme.

Les hommes qui présentent des taux élevés d’IGF-1, une hormone de croissance, ont deux fois plus de risque de mourir d’un cancer selon une nouvelle étude américaine.

Les phytoestrogènes, un bien ou un mal ?