L'alimentation peut-elle contribuer à lutter contre les maladies neurodégénératives ou neurologiques ? Découvrez par exemple quelle est la place de l'alimentation en prévention de la maladie d'Alzheimer, ou en traitement de l'épilepsie.
Les patients ayant des niveaux élevés de vitamine D en début de maladie connaissent une progression ralentie.
Des patients souffrant d’Alzheimer prenant de la vitamine E sont moins affectés dans leurs activités quotidiennes.
Des niveaux de sucre élevés dans le sang sont associés à des performances cognitives diminuées, même chez les personnes en bonne santé et non-diabétiques.
Actualité Un test simple utilisant du beurre de cacahuète et une règle permettrait de diagnostiquer Alzheimer à un stade précoce.
L’accumulation de cuivre jouerait un rôle dans l’agrégation de protéines bêta-amyloïdes dans le cerveau.
Actualité Les recommandations pour prévenir la maladie d’Alzheimer sont proches de celles sur la prévention des maladies cardiovasculaires.
Les patients verraient leur qualité de vie s'améliorer avec un régime sans viande, complémenté en oméga-3 et vitamine D, et la pratique régulière du sport et de la méditation.
Des niveaux bas de vitamine D sont associés à de moins bons résultats aux tests de cognition et à une fréquence de démence plus élevée.
Deux molécules présentes dans la cannelle empêchent l’agrégation des protéines Tau, un phénomène caractéristique de la maladie d’Alzheimer.
Un régime méditerranéen, supplémenté en huile d’olive ou en noix, favorise les aptitudes cognitives des séniors.
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La musculation améliorerait significativement les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson tandis que les exercices d’aérobie et de coordination seraient plus efficaces sur la cognition. Le tai-chi semble aussi un outil intéressant.
Peut-on durablement réduire les poussées de la sclérose en plaques en nombre et en sévérité ? Pour Émilie Venesson, grâce à un changement d'alimentation et des exercices spécifiques, la réponse est oui. Elle témoigne.
Chez les malades d’Alzheimer, le fer qui s’accumule dans le cerveau pourrait jouer un rôle dans le développement de la maladie.
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