Si l’activité physique est essentielle pour diminuer le risque de démence, un travail difficile physiquement procurerait l’effet inverse.
La musculation améliorerait significativement les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson tandis que les exercices d’aérobie et de coordination seraient plus efficaces sur la cognition. Le tai-chi semble aussi un outil intéressant.