Les anticorps monoclonaux sont présentés comme des traitements qui changent la donne pour les malades d'Alzheimer. Enquête sur leurs bénéfices réels et leurs effets indésirables.
Que se passe-t-il dans le cerveau lorsqu’on a la maladie d’Alzheimer ? Quels sont les facteurs environnementaux ou génétiques qui y prédisposent ?
Les causes de la maladie d’Alzheimer ne sont pas encore pleinement comprises, mais on connaît les effets sur notre cerveau. Un cerveau touché par la maladie endommage et tue les neurones, il a beaucoup moins de cellules neuronales et de connexions entre elles qu’un cerveau sain.
Au fur et à mesure que les neurones meurent, la maladie d’Alzheimer va entraîner un rétrécissement important du cerveau.
Lorsque les médecins analysent au microscope le tissu cérébral touché par la maladie, ils remarquent deux types d’anomalies qui sont considérées comme caractéristiques de la maladie :
Même si on ne connaît pas concrètement les causes de la maladie, plusieurs facteurs de risque entrent en jeu :
Si ces facteurs environnementaux ne sont pas ou mal pris en charge à l’âge moyen (40-50 ans) les risques d’être atteint sont plus importants.
Les anticorps monoclonaux sont présentés comme des traitements qui changent la donne pour les malades d'Alzheimer. Enquête sur leurs bénéfices réels et leurs effets indésirables.
Ces constats issus de l'IRM font craindre des conséquences cliniques à long terme.
Comme l’alimentation, l’exercice et la gestion du stress, le sommeil joue un rôle important dans la prévention des démences.