Une étude suggère que la pollution à laquelle les femmes sont exposées pendant la grossesse, particulièrement pendant le troisième trimestre, augmente le risque d’autisme pour leur enfant.

L'autisme reste une maladie mal connue et mal comprise pour laquelle il n'existe pas de traitement spécifique. Néanmoins certaines interventions alimentaires peuvent améliorer la santé des petits patients comme le régime sans gluten et sans caséine ou encore la supplémentation en oméga-3 et en magnésium.
Une étude suggère que la pollution à laquelle les femmes sont exposées pendant la grossesse, particulièrement pendant le troisième trimestre, augmente le risque d’autisme pour leur enfant.
Dans cette étude menée sur plus de 1000 enfants, les chercheurs ont trouvé une association entre la pré-éclampsie et le risque d’autisme et de retard de développement chez les enfants
Un composé du brocoli et des crucifères, le sulforaphane améliore plusieurs symptômes comportementaux de l’autisme, dans un petit essai clinique
Les femmes enceintes vivant près de zones d'épandage de pesticides ont un risque plus élevé d’avoir un enfant autiste.
2 fois plus de risque qu’un enfant soit autiste si son père est obèse
11 toxiques répandus dans l'environnement sont dangereux pour le développement du cerveau.
La carence en fer augmente le risque de désordres psychiatriques chez les enfants et les adolescents.
Les enfants autistes présentent une réponse immunitaire au gluten plus élevée que celle d’enfants en bonne santé.
La prise de vitamine B9 avant et pendant la grossesse est associée à une diminution du risque d'autisme chez l'enfant.
La fréquence de l'autisme dépendrait de l'exposition aux UVB.Le déficit en vitamine D serait en cause dans la survenue de l'autisme.
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Découvrir la boutiqueLe régime sans gluten et sans caséine (SGSC) peut-il améliorer les enfants autistes ? Le point avec les dernières études.
D’après une nouvelle étude, un supplément de mélatonine à libération prolongée améliorerait la qualité de sommeil des enfants autistes.
Une nouvelle étude suggère qu’en modifiant le microbiote intestinal appauvri d'enfants autistes, on pourrait améliorer, de façon durable, les symptômes gastro-intestinaux mais également ceux de l'autisme.