Une méta-analyse montre un lien entre la consommation d’aliments ultra-transformés et le risque de maladie du foie gras.

70% des aliments que nous mettons en bouche sont mous, déjà transformés par l’industrie agro-alimentaire. Des aliments si faciles à digérer, qu’ils contribuent vraisemblablement au surpoids.
Il y a un problème avec les aliments mous : ils sont mous, donc très faciles à avaler après deux ou trois mouvements de mandibules seulement. Conséquence : le repas est avalé en quelques minutes ce qui ne laisse pas le temps au cerveau de libérer l’histamine, cette hormone de la satiété qui apparaît 15 à 20 minutes...
Retrouvez la suite de votre article en vous connectant à votre espace personnel.
Je m'identifieAccédez à des articles et conseils exclusifs en vous abonnant pour seulement 39 € / an.
Je m'abonneLes meilleurs livres et compléments alimentaires sélectionnés pour vous par NUTRISTORE, la boutique de la nutrition.
Découvrir la boutiqueUne méta-analyse montre un lien entre la consommation d’aliments ultra-transformés et le risque de maladie du foie gras.
Plusieurs études d'observation montrent un lien entre la consommation d'aliments ultra-transformés et la mortalité.
Mémoire, humeur... les aliments ultra-transformés sont mauvais pour votre cerveau. Explications.